Qui sont-ils ?

J’ai commencé à tatouer il y a une dizaine d’années, pour la passion que j’ai depuis tout petit lorsque j’ai vu mon oncle se faire tatouer par un artiste parisien chez lui. Ce jour là, je me suis rendu compte que l’on pouvait faire de véritables oeuvres d’art éternelles sur la peau d’une personne. Cet artiste tatoueur, m’a confié que ce qui l’animait c’était la possibilité de créer une « oeuvre éternelle sur un support éphémère ». Dans cette discussion j’ai ressenti sa passion, ce qu’il vivait était fabuleux. 

Quelques années plus tard j’ai pu enfin prendre la place de mon oncle, et passer sous l’aiguille. Plus tard j’en ai voulu d’autres, mais à un sacré prix pour ce que je désirais. Je me suis alors fabriqué ma propre machine, et je me suis tatoué moi même. A partir de ce jour, je ne me suis plus jamais arrêté. 

Pour moi le tatouage n’est pas qu’un art, mais un art de vivre, il faut savoir se mettre dans la tête du client, percevoir ce qu’il veut réellement. Poser un dessin et le tatouer, c’est simple tout le monde pourrait le faire, mais le rendre unique pour le client et lui symboliser, c’est là que l’art prend son sens, une technique, un travail de passionné et d’expérience. 

J’ai donc pris goût à certaines spécialités : le réalisme en particulier, mais j’aime travailler sur tout style de projet. 

Mon plus beau souvenir dans le tatouage a été la rencontre avec ma femme, ma collègue l’avait tatouée, et m’avait parlé d’elle, je suis donc allée la voir sur son lieu de travail, « pour vérifier ce que ma collègue lui avait fait ». Quelques semaines plus tard Maëva est revenue au shop pour que je la tatoue, et de fil en aiguille, nous nous sommes rapprochés, jusqu’à ce que nos atomes crochus deviennent indissociables et que nous montions ensemble notre avenir de passion. 

Je garde aussi de nombreux souvenirs très forts et très touchants avec certains clients, avec des histoires intenses, des tatouages forts pour honorer des êtres disparus, pour vivre, pour surmonter de dures épreuves, etc. Dans ces moments de joies, ou de grandes peines, les liens que nous tissons autour du dessin et de l’encrage sont alors très puissants, et me rappellent à jamais à quel point ce métier est touchant et merveilleux. 

Maëva

Qui sont-ils ?

J’ai commencé à tatouer il y a une dizaine d’années, pour la passion que j’ai depuis tout petit lorsque j’ai vu mon oncle se faire tatouer par un artiste parisien chez lui. Ce jour là, je me suis rendu compte que l’on pouvait faire de véritables oeuvres d’art éternelles sur la peau d’une personne. Cet artiste tatoueur, m’a confié que ce qui l’animait c’était la possibilité de créer une « oeuvre éternelle sur un support éphémère ». Dans cette discussion j’ai ressenti sa passion, ce qu’il vivait était fabuleux.

Quelques années plus tard j’ai pu enfin prendre la place de mon oncle, et passer sous l’aiguille. Plus tard j’en ai voulu d’autres, mais à un sacré prix pour ce que je désirais. Je me suis alors fabriqué ma propre machine, et je me suis tatoué moi même. A partir de ce jour, je ne me suis plus jamais arrêté.

Pour moi le tatouage n’est pas qu’un art, mais un art de vivre, il faut savoir se mettre dans la tête du client, percevoir ce qu’il veut réellement. Poser un dessin et le tatouer, c’est simple tout le monde pourrait le faire, mais le rendre unique pour le client et lui symboliser, c’est là que l’art prend son sens, une technique, un travail de passionné et d’expérience.

J’ai donc pris goût à certaines spécialités : le réalisme en particulier, mais j’aime travailler sur tout style de projet.

Mon plus beau souvenir dans le tatouage a été la rencontre avec ma femme, ma collègue l’avait tatouée, et m’avait parlé d’elle, je suis donc allée la voir sur son lieu de travail, « pour vérifier ce que ma collègue lui avait fait ». Quelques semaines plus tard Maëva est revenue au shop pour que je la tatoue, et de fil en aiguille, nous nous sommes rapprochés, jusqu’à ce que nos atomes crochus deviennent indissociables et que nous montions ensemble notre avenir de passion. 

Je garde aussi de nombreux souvenirs très forts et très touchants avec certains clients, avec des histoires intenses, des tatouages forts pour honorer des êtres disparus, pour vivre, pour surmonter de dures épreuves, etc. Dans ces moments de joies, ou de grandes peines, les liens que nous tissons autour du dessin et de l’encrage sont alors très puissants, et me rappellent à jamais à quel point ce métier est touchant et merveilleux.